La production en volume du Tesla Semi ne commencera pas avant la fin de l’année 2024, selon le PDG Elon Musk. Auparavant, Tesla prévoyait provisoirement de construire 50 000 unités en 2024, mais il semble maintenant que la production ne commencera pas avant la fin de l’année prochaine.
Musk a déclaré lors d’une conférence à Austin hier, selon le site de la Wall Street Journal, que la production en série ne commencerait pas avant la fin de l’année 2024, ce qui constitue un léger écart par rapport aux plans antérieurs qui prévoyaient la construction de 50 000 unités en 2024.
Musk a déclaré lors du Q3 2022 Earnings Call à la fin de l’année dernière que la production de Semi serait accélérée jusqu’en 2023, avec une production en volume commençant en 2024 et 50 000 unités construites cette année-là.
« Nous augmenterons la production de Semi tout au long de l’année prochaine. Comme tout le monde le sait, il faut environ un an pour augmenter la production. Nous prévoyons donc une production importante – nous visons provisoirement 50 000 unités en 2024 pour la Tesla Semi en Amérique du Nord. Et bien sûr, nous nous développerons au-delà de l’Amérique du Nord. Et ces véhicules se vendraient – je ne veux pas dire les prix exacts, mais ils sont beaucoup plus chers qu’un véhicule de tourisme », a déclaré M. Musk.
Musk a cité les contraintes liées aux batteries comme étant le problème qui freine la production du Semi, mais Tesla est également en train d’agrandir son site de production du Nevada pour soutenir la fabrication du camion.
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Le projet de 3,6 milliards de dollars permettra la fabrication de batteries et de semi-remorques électriques.
Tesla augmente la production de ses véhicules en ouvrant de nouvelles usines, dont une au Mexique, qui devrait être inaugurée avant la fin de l’année.
Cependant, de nombreuses entreprises ont commandé le Semi, notamment Walmart, Anheuser-Busch, UPS, DHL et d’autres. Le fait de retarder la production en série peut repousser la date de livraison initiale, mais les camions finiront par créer des flottes commerciales plus durables pour des entreprises telles que PepsiCo, qui a accepté les premières unités du Semi.